Si le sel de Guérande et la fleur de sel de Guérande sont aujourd’hui des appellations contrôlées soumises à une IGP (Indication Géographique Protégée), les marais salants de la presqu’île guérandaise ont bien failli, dans les années 1960, complètement disparaître.
En cause ? L’urbanisation et le tourisme ! Heureusement, le projet pharaonique envisagé n’a pas vu le jour, et 330 paludiers poursuivent leur œuvre en récoltant, à la main, ce sel de la vie non raffiné ni lavé, tellement plaisant au palais.