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Alice Ménard,
maraîchère bio

Alice Ménard, 25 ans, maraîchère bio à Saint-Julien-de-Concelles

Quel est votre parcours ?
Après un BP Responsable d’Entreprise Agricole (BP REA), j’ai travaillé pendant 3 ans chez Olivier Durand (maraîcher bio aux Sorinières) qui m’a tout appris de A à Z !  Comme optimiser l’espace, utiliser la densité des plantes, la diversité des espèces et des variétés dans les espèces, réduire les coûts en faisant ses propres semences, ses propres plans, son compost et favoriser la vente en direct.

Quand et de quelle façon avez-vous démarré votre exploitation ?
En février 2020, j’ai créé mon entreprise avec 1000 m² de terre, en continuant à travailler 80 % du temps chez Olivier Durand. Depuis novembre 2020, je travaille sur mon exploitation à temps plein et j’essaie de reproduire tout ce que j’ai appris à ses côtés. Notamment une culture « bio diversifiée », un modèle répandu au Québec mais très peu présent en France.

Pourquoi avoir choisi cette filière ?
Mon père est maraîcher, il a dédié sa vie à la mono-culture de la mâche. Quelque part, je m’inscris dans sa continuité, puisqu’il m’a transmis ses terres (4 ha) mais en cassant les codes traditionnels. Mon exploitation ressemble à un gros potager, une sorte d’oasis, dans une aire où l’on cultive essentiellement la mâche. Parallèlement, en octobre 2020, j’ai aussi participé à la création de l’AMAP de Saint-Julien-de-Concelles, qui a démarré sur les chapeaux de roues tant la demande était grande !

Comment travaillez-vous avec les chefs nantais ?
Avec Lucie Berthier-Gembara du restaurant Sepia, le courant est très vite passé ! Notre collaboration est régulière ! J’ai également livré Les Chants d’Avril, Canopée et Clémence. Toutefois mon objectif est de me limiter à un petit nombre de restaurateurs, de les contenter, de monter en qualité, pour que tous leurs légumes proviennent d’un seul et même endroit. C’est ce qu’ils recherchent de plus en plus. J’avance prudemment, même si ma production double à partir du mois de mai prochain.

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